► Identification
Nom : Saeka
Prénom : Miya
Surnom : Mimi-chan
Âge : 17 ans
► Personnalité
[b]Traits physiques : Physiquement, je suis une fille tout à fait normal. J'ai de long cheveux noirs légèrment ondulés, et les mêmes yeux verts que ceux de ma mère. Avant, mon visage aux traits fins était toujours enjoué, une lueur d'amusement dans les yeux. Maintenant mes yeux sont souvent remplis d'eau et je me retien pour ne pas pleurer.
J'ai un physique tout à fait normal. Plus de poitrine que la majorité du monde, peut-être, mais je ne me force pas à la mettre en valeur. Je porte l'uniforme de l'école, sinon je garde des vêtements dans le même style. Je ne suis pas du tout original.
Traits de caractère : Il y a quelques temps, je me serais considérés comme une fille joyeuse et enthousiaste, sympathique et social. Mais depuis quelque temps, je suis toujours triste, toujours loin des autres. Je n'ai d'intérêts en rien, je laisse ma vie filer sans rien pour la retenir ou pour la diriger. Si je ne pleure pas 24h sur 24, je n'en reste pas moins apathique. Je ne peux pas dire ce que j'aime ou ce que je n'aime pas, puisque même moi je ne sais plus...
La seule chose qui m'intéresse, c'est la réponse à la question: Qui suis-je? Et je crois que seule la parapshychologie ou la religion pourra répondre ;a ma question...
Histoire : J'ai vécu les 17 plus belles années de ma vie avec ma famille. Mon père et ma mère étaient les parents les plus chaleureux et les plus enjoués du monde. J'étais vraiment une filette chanceuse et heureuse. Mais bien sûr je ne me rendais pas compte de ma chance.
Jusqu'à il y a trois semaines.
Nous nous dirigions vers Osaka pour passer des vacances en famille, quittant notre Tokyo habituel et son nombre incroyable de personne stressé et morne. Flottant sur notre petit nuage, nous ne remarquâmes pas l'uto qui filait en sens inverse, sur notre voie...
J'eus de la chance de m'en sortir pratiquement indemne. Mes parents n'eurent pas cette chance. Mon père est mort sur le coup, ma mère est morte à l'hôpital, trois jours plus tard...
Bien que physiquement, je m'en sois remis, mentalement je n'y arrive pas. Je n'arrive pas à faire le deuil de mes parents, et seule c'est encore pire.
D'ailleurs, cette question, tout le monde se l'est posé: comment ais-je fait pour m'en sortir? Et sans acune égratignure. Selon les médecins, c'est tout bonement impossible. Ils auraient du me retrouver écrasé contre mon siège, mort comme mes parents. La réponse, je la connais. Mon corps est capable de se régénérer, comme celui des lézards. Mais il ne m'empèche pas de sentir la douleur...
Personne dans ma famille ne pouvait s'occuper de moi. Le mieux, selon mes oncles et tantes, c'étaient de m'envoyer dans un pensionnat payer par l'héritage que mes parents me laissaient. Et le mieux, serait un pensionnat de jeune fille, avec des filles qui pourrait me comprendre et m'aider... Me voici donc avec mes valises devant mon nouveau pensionnat, avec aucunement l'intentionde montrer un faible sourire à mes nouvelles camarades de classe.
► Plus
Matière enseignée : I am a student.
Métier/activités : Je vais faire ma demande pour faire partie de l'étude du paranormal.
Autres : Euh... je vois pas là.^^