Academie Kanchigai
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Display One Piece Card Game Japon OP-08 – Two ...
Voir le deal

 

 Cyanelle Shaytan

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Cyanelle

Cyanelle


Messages : 2
Date d'inscription : 16/08/2009

A savoir :
Activité de club:
Âge:
Petite amie:

Cyanelle Shaytan Empty
MessageSujet: Cyanelle Shaytan   Cyanelle Shaytan Icon_minitimeDim 16 Aoû - 3:49

► Identification

Nom : Shaytan
Prénom :Cyanelle

Surnom : (celui de votre personnage, vous avez le choix de la provenance, facultatif)

Âge : 17 ans

► Personnalité :Very Happy'un naturel curieux, avenant et expansif, elle reste cependant méfiante envers les gens qu'elle rencontre. Fine diplomate, elle fera parler la personne sans que celle-ci s'en aperçoive. Mais d'un autre coté, ne divulguera jamais ce qu'elle aura appris ainsi.
Très calme, elle est par ailleurs extrêmement fidèle en amitié et très maternelle, ce qui fait que porter atteinte à ses proches est la seule chose qui pourra la mettre en colère. Mais sur le coup,ce sera une fureur noire, froide et implacable, doublée d'une rancune très tenace.

[b]Traits physiques : Visage ovale, avenant et doux, avec un menton très légèrement pointu. Teint cuivré. Grands yeux aux larges iris mauves, fendus en amande, bordés de longs cils bruns. Nez mutin, effilé et doucement retroussé. Bouche assez fine, délicatement ourlée de grenat, la lèvre inférieure un peu proéminente. Coiffée habituellement d’une queue de cheval haute et une épaisse mèche tombant sur le coté droit de son visage, l’occultant. Le reste du temps, laisse sa chevelure quasi blanche s'ébattre aux vents et se dérouler jusqu'en bas de ses reins. Corps élancé aux muscles saillants, mais dont les galbes arrondis s’affirment comme des promesses.
Traits de caractère : (minimum 3 lignes)

Histoire :
Chapitre premier
Renaissance






L'obscurité, le silence total. Une vague sensation de néant qui ondule à la surface empoissée de mon esprit. Puis la chute ! Un vertige absolu qui m'entraîne et m\'oppresse.
Je voudrais hurler quand la terreur happe mon cerveau mais toujours ce silence et comme l'absence de corps.
C'est là qu'une question jaillit, impérieuse, s'élançant face à moi et me frappant d'une angoisse pire encore: Le corps de qui ?
Son pendant logique la suit de prés: Qui suis-je ? Ou plutôt, que suis-je ? L'interrogation et l'angoisse que j'en ressens finissent pas totalement envahir mon esprit, raisonne dans mon crâne dans un assourdissant vacarme silencieux.

Brutalement, au milieu de ce chaos mental, un aiguillon pénètre et je perçois ma première sensation physique. Du bas de mon corps remonte un signal nerveux tout à fait désagréable de chaleur...non, de brulure !
Comme balayé par ce qui est a présent une véritable douleur, le brouillard de mon esprit se dissipe et je reprend cruellement conscience de mon corps. Je sens la piqure d\'un objet sous ma voute plantaire, que quelqu'un tourne et retourne avec une lenteur consommé qui trahit le plaisir qu'elle y met. Pourtant, toujours impossible de bouger pour le moment. Mes membres sont bien là, je les sens, mais ma volonté n'a pas l'aire de les atteindre. Ma poitrine se soulève de plus en plus vite à mesure que le supplice perdure et je parviens à ouvrir la bouche, mais aucun son n'en sort. La douleur irradie toute ma jambe à présent, me donnant l'impression qu'elle boue de l'intérieur.

C'est alors que la sensation s'estompe notablement. L'objet vient d'être retiré de mon pied. Mon cœur ralenti doucement et mon souffle aussi. Mais le répit est de courte durée. Une nouvelle souffrance arrive, fulgurante ! Mais différente de la première. Il n'y a pas cette odeur de viande brulée mais est elle semble pourtant plus intense.
J'imagine mon pied fondre comme de la cire. Le choc est si violent que mon cœur manque d'exploser. Une vague remonte au cerveau comme un raz-de-marée, je la sens s'approcher, elle va avaler ma raison !

Et c'est alors que dans un flash aveuglant, ivre de douleur et de terreur, un premier son sort de ma bouche: Un hurlement qui me déchire la gorge et fait vibrer mes tympans. J'ouvre aussi mon regard sur un flou sombre et rougeoyant. Dans mon élan, je tente de me redresser mais je m\'aperçois que que suis liée à une table par de solides sangles. Je relâche mes muscles, secoue la tête et essai de me convulser pour me dégager.
Ma vue commence à s'éclaircir. Je distingue à présent des silhouettes devant un immense âtre de cheminée. Je baisse les yeux sur moi et me découvre une peau sale et nue, offerte à la vue de l'assistance qui semble se délecter de ma souffrance. Bizarrement, ce ne sont pas leur regards concupiscents jetés sur mon plus simple appareil qui me révulse le plus, mais l'éclat sadique qu'il y a derrière. J'éructe de plus belle, comme l'animal piégé que je suis, m'arrachant la gorge jusqu'à en cracher du sang. Mais un coup puissant m\'arrivant sur le haut du crâne me fait taire tout à coup et je sens mon esprit partir.
Est-ce ma fin ? Déjà ? Et dire que je ne sais même pas qui je suis....

****************

L'obscurité...encore. Mais c'est différent cette fois-ci. Pas de douleur, pas de malaise, au contraire. Je sens mon corps et les contusions qui le couvrent reposer dans une douceur moelleuse et agréable. Je me laisse alors allé encore au sommeil, glissant doucement et constatant qu'en fin de compte, je ne suis pas morte, mais que la question demeure: Qui ou qu'est-ce que je suis ? Je m'interroge en m'endormant et je rêve:


Citation :
"Non, te dis-je, elle n'est plus là!"
L'homme semblait irrité. Mais le rictus de son visage montrait plus de déception que de colère. A ses côtés, à moitié allongé dans de profonds coussins, son interlocuteur semblait dépité.
Autour d'eux, le banquet y allait de ses fastes orgiaques: Danseuses langoureuses à moitié dévêtues les yeux hagards de drogues pour les soumettre, ballet de serveurs se brisant les reins pour servir aux convives des cochons de lait rôtis ou je ne sais quels autres mets.
Mais les deux convives semblaient se désintéresser de ce brouhaha qui leur été destiné.
Le premier, sans doute un notable local, avait le corps à demi recouvert de bandages, obèse, suant à grosse gouttes, il se nommait Barlore. L\'autre -Yorlack-, un ami de longue date, était venu sur son invitation pour rencontrer la favorite du premier dont les prouesses érotiques lui avait été comptées avec force détails.
Malheureusement, la donzelle avait pris la poudre d'escampette quelques jours avant.

Yorlack saisi la manche de son collègue et lui demanda: "Raconte moi encore, qu'il me reste au moins un souvenir d'elle dont je puisse m' inspirer avec ma tribut de courtisanes timorées."
Barlore roula vers lui des yeux fourbus et enfiévrés mais accepta de bonne grâce. Trop heureux de pouvoir raviver le souvenir de la femelle.
Soupirant en affaissant ses larges épaules, il commença:
"Aaaah, si tu savais...lorsque elle me fut livrée, je vis arrivé chez moi un corps menu et nerveux caché derrière des voilages de mauvaise qualité. Je me disais que je n'aurais pas du me fier aux rumeurs qui circulaient à son propos au sein du zenana. Comment une telle créature pouvait-elle être celle qui donnait le frisson aux mères matrones elle-mêmes.
Cependant, le soir venu, je la faisait venir dans mes appartements afin de tester la marchandise.
Venant de donner mes derniers ordres de la journée, le la trouvais de dos, assise devant une commode en os, toujours à moitié voilée de ce vilain tissu.
Mais ce que je vis fut très à mon goût. Un corps gracile dont les muscles légèrement saillant révélaient une vigueur certaine, de longue jambes fuselées, des hanches accueillantes, de longs cheveux noirs, excepté une mèche blanche sur le devant, tombants en cascades sur ses reins et dans lesquels la lumière bigarrée des lampions donnait les tons d'ambre et de miel.
Sa peau lisse et sombre avait l'aspect de statuts de marbre balayées par le temps.

A mon arrivé, elle ne daigna même pas se retourner totalement. Elle se contenta de me jeter une œillade d'azur et de myosotis par dessus son épaule droite. Un léger sourire s'esquissant aux coin de sa bouche ferme ourlée de grenat lorsque elle vit que j'observais, déjà avide, son corsage plein.
Je lui fit remarquer sèchement qu'elle partait mal en ne m'accueillant pas de la façon due à mon rang.
Je la vit alors finir de tourner vers moi la grâce de son corps de marbre obscure et s'inclinant et me dit un simple "bienvenue Maître" avec une voie si profonde qu'elle emplit la pièce entière et me fit frissonner."

Après un nouveau soupir las, l'homme reprit ainsi:
"Mes quelle garce, mon ami ! Jamais je n'aurais pu soupçonner cela chez une si jeune femme.
Les semaines qui suivirent, je m'abîmais chaque soir un peu plus dans les délices brutaux et sanglants qu'elle m'infligeait. Tour à tour ange fragile et reine démone elle me sussurait à l'oreille des saloperies qui laissaient pantois même un vieux briscard de la vicelardise tel que moi.
Les extases qu'elle me procurait...et encore, elle me refusa un bon moment la fleur carnassière que cachait ses cuisses. Mais mon état ne me permettait même plus de faire valoir mes prérogatives de maître.
Imagine toi ça ! En moins de d'un mois, elle avait transformé mon sérail peuplé de courtisanes rétives à mes caresses en un lieu de crapuleries fabuleuses où une atmosphère de stupre régnait du soir au matin.
Une nuit enfin, elle accepta que je la possède entière et là, ce fut presque la fin de ma raison. Elle se laissa capturer de toutes les façon que je pouvais imaginer. J'eus aussi l'idée de faire participer d'autres personnes pour voir jusqu'où elle allait, mais, vieilles décrépites, jeune éphèbe ou quoique ce soit, elle capturait tout dans l'étau de ses cuisses ou de sa bouche phallofage et parvenait à chaque fois à tirer de moi jusqu'à la dernière goutte d'énergie.
Le matin venu, alors que je n'arrivais qu'à grand peine à retourner à mes affaires, elle lutinait déjà le corps des servantes."


Je me réveillais troublée par ce rêve décadent. L'esprit encore un peu embué, j'ouvrais les yeux sur une pièce sombre et exiguë, meublée de façon chiche et éclairée seulement part la les rayons d'un Soleil mourant qui tombaient obliques par une lucarne du mur à ma gauche. J'entendais le tic-tac du grosse et l'atmosphère respirait un calme que je n'avais pas souvenir d'avoir connu. "Pas souvenir"...comment pourrais-je avoir un tel souvenir alors que je ne me souvenais de rien, pas même de ma propre race". Cette pensée incongrue eut le mérite de me faire sourire.
Puis j'entendis un bruit de bois qui craquait dans l'obscurité. Je sursautais, me redressant sur ma couche. Une voix rocailleuse raisonna alors, calme mois impérieuse: "Calmez-vous, vous ne risquez plus rien."
Je restais interdite un moment puis la voix reprit : "Comment vous appelez-vous ?"
Je bredouilla que je n'en savez rien en serrant les dents. "Diantre, détendez-vous !" lâcha la voix dans l'obscurité, d'un ton faussement offusqué. Sur quoi j'entendis une bruit de chaise sur le plancher et des pas qui s'avancèrent vers moi. Je me crispa encore un peu plus et vit apparaitre dans un rets de lumière un visage buriné et à moitié occulté par une barbe grise foisonnante, mais clairement entretenue avec soin. Puis je devinai un torse massif mais courbé comme s'il portait un lourd fardeau. Un regard perçant me scrutait entre des paupières plissées.
Il se tenait à présent à coté de moi, me dominant de son imposante stature. Enfin, il rompit le silence: "Peut être devrai-je commencer par me présenter "introduisit-il. "Je me nomme Lysandre Valdéroc."

► Plus


Matière enseignée : (Uniquement pour les professeurs.)

Métier/activités : (Facultatif, vous pourrez faire votre demande de métier dans le topic créée à cet effet ainsi que celle de club et autres activités de ville.)

Autres :
Revenir en haut Aller en bas
Aya Nishino
Directrice x Baka admin'
Directrice x Baka admin'
Aya Nishino


Messages : 60
Date d'inscription : 15/06/2009
Age : 30

A savoir :
Activité de club: Musique/Chorale (présiente)
Âge: 17 ans
Petite amie: Aucune

Cyanelle Shaytan Empty
MessageSujet: Re: Cyanelle Shaytan   Cyanelle Shaytan Icon_minitimeDim 16 Aoû - 15:35

Belle présentation, tu es validée, bienvenue =)
Revenir en haut Aller en bas
https://academie-kanchigai.forumactif.com
Natsumi Sakura
♥ Fleur populaire ♥
Natsumi Sakura


Messages : 45
Date d'inscription : 13/07/2009
Age : 27

A savoir :
Activité de club:
Âge:
Petite amie:

Cyanelle Shaytan Empty
MessageSujet: Re: Cyanelle Shaytan   Cyanelle Shaytan Icon_minitimeDim 16 Aoû - 18:36

Oui bienvenue !!!!!
tu ne sera pas Lysandra Shaytan sur yuri étopia ?
Revenir en haut Aller en bas
Cyanelle

Cyanelle


Messages : 2
Date d'inscription : 16/08/2009

A savoir :
Activité de club:
Âge:
Petite amie:

Cyanelle Shaytan Empty
MessageSujet: Re: Cyanelle Shaytan   Cyanelle Shaytan Icon_minitimeLun 17 Aoû - 2:32

si effectivement ^^

et merci pour l'acceuil
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Cyanelle Shaytan Empty
MessageSujet: Re: Cyanelle Shaytan   Cyanelle Shaytan Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Cyanelle Shaytan
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Academie Kanchigai :: Hors-jeu :: • Dossiers d'inscriptions • :: Dossiers validés-
Sauter vers: